Été 1998. Campagne. Cassandre a 14 ans. Dans le petit manoir familial, ses parents et son frère aîné remarquent que son corps a changé. Heureusement, Cassandre est passionnée de cheval et intègre pour les vacances, un petit centre équestre où elle se fait adopter comme un animal étrange. Elle y découvre une autre normalité qui l'extrait petit-à-petit d'un corps familial qui l'engloutit...
Le Monde - Le film a l’intelligence de mobiliser ainsi tout un faisceau d’affects sans jamais céder à la facilité de donner une explication simple aux choses.
Le Point - L'esthétique pop, légèrement rétro, très gracieuse du long-métrage dilue l'insupportable de son sujet sans jamais l'occulter. Cassandre, que l'on écoute enfin, rappelle que le cinéma sait tutoyer les sujets de société sans renoncer à de grandes ambitions artistiques.
Les Echos - Un premier film autobiographique beau et perturbant, qui parvient à trouver un ton très singulier, entre le conte et la chronique familiale dramatique.